Vivre

Colmar

Description de l'image


Nous ne sommes pas le père Noël. Nous ne distribuerons pas de cadeaux. Mais nous accueillons avec plaisir vos courriers, vos réactions, vos désirs, vos souhaits… Pour construire ensemble notre ville de demain.

Nous essayons de mener une campagne écologiste. Une écologie positive et constructive, une écologie économique et sociale, pour donner un autre sens à la marche du monde.

Repenser les règles de gouvernance, redonner une place au commun, réfléchir à la place de l’humain, savoir rétablir des hiérarchies, des priorités.

Nous voulons être porteur de changement. Il passera inéluctablement par une ville en transition. Le changement climatique, la transition écologique, renforcer les liens sociaux et l’emploi… Le chantier est vaste et passionnant car il génère de l’espoir pour nous et les générations futures.

Ce qui nous intéresse le plus dans notre démarche, c'est de montrer que nous dépassons le parti politique. Pour nous l’écologie sert à innover la façon de faire de la politique, où le consensus ne s’organise pas autour d’un partage du pouvoir, mais plutôt autour d’un partage des tâches.


Le calendrier de l’avent se termine aujourd’hui, nous vous remercions de l’avoir suivi durant ces quelques jours et merci aussi pour vos retours positifs. Nous vous donnerons des nouvelles de notre campagne, de notre programme, sur ce site dans quelques jours ou sur facebook et n’hésitez pas à nous contacter si vous voulez nous rejoindre.

Nous souhaitons de belles fêtes de fin d’année à ceux qui festoieront, et de reposants jours fériés aux autres.



Description de l'image


La multi-modalité consiste à utiliser plusieurs modes de déplacements pour un même trajet. Ce pourrait être, comme la photo le suggère, utiliser le vélo puis les conduits de cheminée, mais ça reste exceptionnel. Elle concerne essentiellement la marche puis le bus, la voiture puis le tram ou encore le vélo puis le train. L'enjeu étant de diminuer l'usage de la voiture et de rendre plus confortable les trajets.

L'endroit où l'on change de mode de déplacement est un nœud multimodal. Le plus important à Colmar est la gare. On peut y accéder à pieds, à vélo, en bus, en train ou en voiture et repartir différemment. Le plus pratique pour ceux qui habitent ou travaillent à Colmar et de concilier train et vélo.

Cependant, depuis quelques années, les trains aux heures de bureau n'acceptent plus les vélos. Plusieurs solutions s'offrent alors au voyageur, acheter un vélo pliant, laisser son ou ses vélos à la gare ou louer un vélo. Or à Colmar ces deux dernières alternatives sont à améliorer.

Nous proposons d’agrandir les parkings fermés afin que plus de monde puisse y avoir accès et nous proposons d'optimiser le service de location pour que les personnes venant ponctuellement à Colmar, et pas seulement les touristes, mais aussi celles qui travaillent, puissent accéder facilement à un vélo pour se déplacer en ville.

Description de l'image

En ce dernier dimanche de l'avent, nous vous proposons un pack des réflexions de Patrice. Vous retrouverez dans l'ordre, "La culture de l'art", "La petite musique des rythmes scolaires", "La Tectonique des Plaques", "Le changement dans la continuité", "Le temps des colibris" et "On est pas sûr de gagner".

Description de l'image

Le nouveau contrat de plan état région vient d'être publié. Il s'agit d'un programme de travaux à réaliser en Alsace. Il est le fruit d'une concertation entre les différentes collectivités Alsaciennes, avalisé par l'état. La liaison ferroviaire Bollwiller - Guebwiller y figure. Celle entre Colmar et Freiburg n'y apparaît que sous la forme d'une énième étude. Pourtant cette liaison est nécessaire au centre Alsace.

Freiburg est accessible en train depuis Strasbourg et Mulhouse, mais pas de Colmar. Tous les discours sur le bilinguisme, sur les emplois frontaliers sur une grande région rhénane resteront des coquilles vides si on ne facilite pas les liaisons entre nos deux pays et en particulier entre Colmar et Freiburg.

Bien sûr, ce n'est pas la ville qui peut mener un tel projet. Mais ses élus doivent être convaincus de l'importance d'un tel projet et maintenir une pression forte et régulière sur la région pour qu'elle le considère autrement qu'une étude à réaliser et à oublier.

Description de l'image

Récemment, la ville et la mission locale ont inauguré une sculpture de Vladimir Skoda sur le parvis du centre Europe. C’est une initiative que nous saluons, d’autant plus qu’elle a été réalisée avec des jeunes en insertion professionnelle. Cependant, la place de l’art dans la rue, dans l’espace public, est assez congrue à Colmar. Il y a des sculptures historiques au centre ville et d’autres plus modernes sur quelques ronds-points. Mais globalement, ce n’est pas très dynamique. Nous proposons de faire vivre Colmar au rythme des arts dans la rue. De proposer des œuvres qui intéressent les Colmariens comme les touristes. Et pour attirer ces derniers et faire déplacer les Colmariens, il faut des œuvres fortes, et pourquoi ne pas mettre la statue de la liberté sous une boule à neige lors d’une saison artistique estivale ? Irréaliste ? Stupide ? Et pourtant ça a déjà été réalisé à Lyon et en Angleterre. Et même si ce sont des villes qui n’ont pas la même dimension que Colmar, d’autres villes plus petites réussissent à créer des évènements artistiques de qualité comme Guebwiller et son noël bleu ou Uffholtz et ses fenêtres de l’avent.

Description de l'image

Nous voulons poursuivre et amplifier l’action de la ville pour se passer de produits phytosanitaires non reconnus en agriculture biologique. Pour cela, il y a plusieurs solutions. La ville possède des terrains qu’elle loue à des agriculteurs. Lors du prochain renouvellement de bail, nous proposons de louer ces terrains de préférence à des exploitants en agriculture biologique. Par ailleurs, les premiers utilisateurs de produits phytosanitaires sont les particuliers, nous pensons que la ville a un rôle à jouer dans la sensibilisation des colmariens à la dangerosité des produits phytosanitaires. Aussi nous proposons de primer lors du concours de maisons fleuries, les personnes qui n’utilisent pas de tels produits.

Description de l'image

Le 19 novembre 2012, le conseil municipal de Colmar votait une convention avec la CAF pour le contrat enfance jeunesse. Quelques semaines plus tard, la presse publiait une photo de la signature de cette convention. La nouveauté de ce contrat 2012-2015 était la réalisation d’études d’opportunités concernant d’une part le lieu d’accueil enfants parent dont nous avons déjà parlé, et d’autre part la création d’une ludothèque. Jusqu’en 2011, une association proposait ce service, mais elle a arrêté son activité. Des villes comme Horbourg-Wihr, Saint Louis ou Sainte Croix en Plaine ont des ludothèques. Ce sont des lieux de rencontre intergénérationnels et interculturels,  ouverts aux plus jeunes, aux ados comme aux adultes. Permettre à tous de jouer ensemble autour d’une table plutôt que devant un écran peut-être une ambition de la ville. Nous nous engageons à créer une ludothèque municipale qui pourra fonctionner avec les associations qui le souhaitent, et nous organiserons quelques parties de monopoly, de negocito ou de loup garou avec les conseillers municipaux volontaires après les séances du lundi soir.

Description de l'image


Nous proposons de mettre en valeur notre belle Collégiale St. Martin. Pour cela, nous allons transformer les parkings et rendre la place de la cathédrale beaucoup plus attractive. En créant un espace vert, en aménageant quelques agrès pour les enfants,  en installant des bancs et en permettant aux terrasses de s’étendre, nous obtiendrons un lieu vivant au cœur de Colmar. Les parkings actuels créent un flux de circulation qui perturbe les zones piétonnes de la rue des Marchands, de la rue des Clefs et de la Grand Rue. Ces zones ne doivent plus être accessibles en voiture que par leurs riverains. Moins de bruits, moins de pollutions, moins d’insécurité, la ville sera beaucoup plus agréable à vivre avec une place de la Cathédrale sans parking.


Description de l'image

Le développement durable dans la construction, ce n'est pas seulement une bonne isolation et de l'énergie renouvelable. Il est possible d'aller beaucoup plus loin en étant attentif à utiliser des matériaux sains, produits à proximité et peu gourmands en énergie grise (l'énergie qui sert à les fabriquer).

Il y a un peu plus d'un an, une école de Wintzenheim a lancé un chantier pour créer un jardin d'enfants. Ce nouveau bâtiment est construit avec de la paille et une structure bois. Les nombreux politiques, de toutes les collectivités territoriales, présents à la pose de la première botte de paille ont tous salué cette initiative innovante et respectueuse de l'environnement. Seulement, au delà des paroles d'encouragement, aucune de ces collectivités n'utilise cette technique de construction. Pourtant, mieux que des maisons individuelles, fortes consommatrices de foncier, il est possible de construire des immeubles de qualité.

Pour développer des filières d'emplois locaux et des constructions respectueuses de l'environnement, la ville de demain utilisera la paille de nos campagnes.

Description de l'image


Vous ne vous en êtes peut-être pas rendu compte, mais la place Rapp vient d'être refaite. Refaite à l'identique. Quelques malfaçons ont permis à la ville de toucher les primes d'assurance et de refaire les revêtements de sols qui laissaient à désirer. Nous avions proposé de profiter de ces travaux pour rendre cette place très minérale et triste, un peu plus vivante. Pour cela nous nous sommes inspirés de ce qui fonctionne à proximité, c'est à dire l'aire de jeu pour enfants (à proximité de l'avenue de la République et de la circulation) et le carrousel. Malheureusement l'équipe majoritaire a préféré garder cet ancien parking en place d'arme déserte.

Nous proposons de rendre cette place plus vivante, en aménageant des aires de jeux dignes de ce nom. Nous proposons aussi d'aménager les anciens locaux du kiosque à journaux et de l'espace de location de vélo en espace de détente pour la belle saison, en permettant aux associations, par roulement, de vendre des boissons et des gâteaux pour améliorer leur budget.

Un aménagement pour les rollers et les skates sera également à l'étude.

Description de l'image

Depuis une quarantaine d'années, des structures comme la maison verte, fondée par Françoise DOLTO, accueillent des enfants de 0 à 6 ans et leurs parents. Ce ne sont ni des écoles, ni des haltes garderies, mais des lieux conviviaux où les parents viennent jouer avec leurs enfants, rencontrer d'autres parents ou discuter avec des professionels de la petite enfance.

Ces lieux d'accueils ouverts et anonymes, répondent à des objectifs de prévention et de socialisation précoce.

Il y en a plusieurs dans le département. Mais pas encore à Colmar... Nous souhaitons, en partenariat avec des associations et la CAF, créer un lieu d'accueil Enfants-Parents à Colmar.

Pour plus d'information

Description de l'image

Ils ne sont pas très nombreux. Mais il y en a à l'extrémité Nord de la rue du Ladhof, en zone industrielle, comme à l'extrémité sud de l'avenue d'Alsace, entre un Hôpital, des zones commerciales et des zones d'habitations. Ce sont des arrêts de bus posés dans une sorte de no man's land pour piétons. Entre herbes folles et petits sentiers tracés par quelques courageux, prendre le bus à ces endroits n'est pas très motivant pour les salariés, les patients ou les familles.

L'étude diagnostique faite pour le Plan de Déplacement Urbain a montré que la marche était sous-utilisée à Colmar. Pour en redonner le goût aux colmariens, et pour les encourager à prendre le bus, il est indispensable de créer des trottoirs sur ces axes très passants. 

Ce n'est évidemment qu'un préalable à une refonte du réseau de bus de l'agglomération colmarienne.

Description de l'image

Il est nécessaire en milieu urbain de refaire le lien entre nature et nourriture. En complément des jardins partagés, il est possible d'allier espaces verts et nourriture pour tous avec des stations gourmandes. Nous proposons de remplacer à plusieurs endroits de la ville, les fleurs, plantes ou arbres habituellement plantés par des espèces comestibles. Ces fruits, légumes ou herbes aromatiques non traités, qui pousseraient dans les lieux publics seraient à la disposition des habitants. Framboisiers, menthe, tomates, basilic, cerisiers, courges, pommiers ... agrémenteraient nos rues, nos parcs et nos assiettes.

Encore une fois, nous nous inspirons de ce qui ce fait ailleurs, et notamment à Nantes à l'occasion de l'événement artistique "le voyage".

Description de l'image

Nous n'avons pas la prétention de tout inventer, si d'autres ont des idées qui nous paraissent bonnes, autant en profiter. La proposition que nous présentons aujourd'hui s'inspire d'une action du CCAS de Grenoble. Il s'agit de mettre en vente des paniers solidaires. Nous souhaitons, en partenariat avec des maraichers bios locaux, proposer des paniers de légumes dont le prix serait fonction du coefficient familial du client. Il s'agit de permettre à toutes les familles, quelques soient leurs revenus, d'accéder à des produits de proximité sains.

Description de l'image

Dans certaines rues de Colmar, les vitrines vides sont de plus en plus nombreuses. Il est primordial, tant d'un point de vue économique, social ou d'optimisation des déplacements, de maintenir un tissu économique dynamique en ville. Ce n'est pas chose facile, car à Colmar la principale difficulté est le prix des loyers. Et pour contrer ces prix la ville ne pourait utiliser que le droit de préemption. Peut-être faudra-t-il en arriver là, mais la portée d'une telle mesure est somme toute limitée. Par contre, il faut à nouveau encourager les habitants de la région colmarienne à venir en ville. Actuellement beaucoup est fait pour le touriste, moins pour les habitants. Il est plus facile d'aller en ville avec un appareil photo qu'avec des enfants...

Un deuxième axe est d'essayer de convaincre des enseignes phares de s'implanter à Colmar. Ce travail est à faire en partenariat entre les élus et les représentants des commerçants.

Enfin, la ville ne doit pas mettre en concurrence les enseignes de la villes avec de nouvelles grandes surfaces en périphérie. Le SCOT l'interdisait et ça ne doit pas être changé au motif qu'un centre de marque souhaite s'implanter à proximité.

Description de l'image

Comment ne pas rendre hommage à Nelson Mandela. Il fait partie de ces hommes et de ces femmes qui marquent notre culture politique et sociale. Tout au long de sa vie, nous nous reconnaissions en lui, que ce soit dans la résistance ou dans son travail d'unification de l'Afrique du Sud. Ce n'était pas un saint, mais juste un homme qui s'il n'a pas tout réussi, aura tout donné pour faire avancer l'égalité entre les hommes et l'humanité.

Description de l'image

La vitesse des voitures est souvent mise en cause et si l'on souhaite des ralentisseurs, on ne les veut pas devant chez soi à cause des nuisances sonores. Or pour pacifier les rues, pour les rendre plus sûres, moins bruyantes, pour permettre aux autres modes de déplacements de se développer, plusieurs villes, en France et en Europe, appliquent une solution très simple.

C'est le concept de la ville 30. Il s'agit de limiter la vitesse à 50 km/h sur les grands axes structurants, les axes de transit, et de baisser cette limite à 30 km/h sur les voies secondaires. Celles qui desservent les différents quartiers. Cela ne change pas beaucoup la vitesse moyenne des déplacements urbains qui dépasse rarement les 30 km/h. Les automobilistes dont le véhicule est équipé d'un ordinateur de bord peuvent le vérifier facilement. 

En cliquant sur l'image ci-contre vous accédez au site des villes 30. Après Melun, Fontainebleau, Clamart, Lorient, Sceaux... Colmar bientôt Ville 30!

Description de l'image


Anticor est une association qui a pour objectif de rendre les citoyens plus vigilants et les hommes politiques plus rigoureux dans leur gestion des affaires publiques. Elle propose aux candidats des différentes élections de signer une charte. Dans cette charte, les candidats s'engagent sur différents thèmes tels que le non cumul de mandats et des fonctions exécutives, les bonnes pratiques de gestion, la transparence, la reconnaissance des groupes minoritaires, la participation citoyenne...

Les candidats qui le souhaitent peuvent signer la charte et l'envoyer à l'association qui doit valider la demande. Pour l'heure, nous avons envoyé la charte et attendons le retour d'anticor. La liste des candidats pouvant utiliser le logo d'anticor est visible ici:

http://www.anticor.org/nos-chartes-ethiques/municipales-2014/les-candidats-signataires/

Aujourd'hui aucun autre candidat Haut-Rhinois ne figure dans la liste. Gageons qu'avant les élections de mars 2014 nous serons nombreux.


Description de l'image

Ces dernières années, d'importantes sommes ont été investies dans le stadium ou la salle d'escrime. Ces investissements sont justifiés par les bons résultats des clubs concernés. Cependant, d'autres disciplines sportives ont de très bons résultats, au niveau national et au niveau mondial. Nous proposons de poursuivre cet investissement dans les infrastructures sportives en rénovant les gymnases anciens et en construisant une structure couverte d'athlétisme. Cette dernière est indispensable pour améliorer encore les très bonnes performances des athlètes colmariens.

Description de l'image
Description de l'image

Les associations font vivre la ville. Le bénévolat est une autre forme d’esprit d’entreprise qui consiste à donner de son temps et de son énergie dans des domaines aussi divers que le sport, la culture, la citoyenneté ou le caritatif… La ville a besoin de soutenir et d’encourager la création d’associations. Au-delà des aides habituelles, subventions, locaux, communication, nous proposons de mettre en place un nouveau service. Trop souvent les formalités administratives sont lourdes et complexes. Notamment pour trouver des financements. Si certains fonds sont très sollicités, d’autres moins connus sont peu utilisés. Nous proposons qu’en partenariat avec l’OMS et l’OMC, la ville mette en place un poste spécialisé de soutien aux associations, non seulement dès leur constitution, mais aussi d'accompagnement et de conseil pour diversifier les sources de financement et faciliter les mutualisations. Cela permettra aux bénévoles de se consacrer aux projets et à la vie de leurs associations en perdant moins de temps dans la constitution de dossiers administratifs.

L’adolescence est souvent une période difficile pour les familles. En parler avec des professionnels permet d’atténuer les tensions. Plusieurs villes, à l’initiative des conseils généraux, ont mis en place des lieux d’accueils à destination des adolescents et de leurs familles. On y trouve des professionnels, assistants sociaux, éducateurs, psychologues, médecins… qui conseillent, orientent et soutiennent les jeunes et leurs familles. Dans le Haut-Rhin, la maison des adolescents est située à Mulhouse, elle est ouverte du lundi au vendredi. A Colmar, une permanence a lieu le mercredi. Plusieurs jeunes de la région colmarienne font le déplacement jusqu’à Mulhouse, d’autres, plus nombreux, y renoncent. Nous proposons que la ville de Colmar, en concertation et en partenariat avec les associations locales de médiation familiale, d’aide aux familles et le conseil général, s’investisse pleinement pour proposer à ses habitants une réelle maison des adolescents.

Description de l'image

Les quartiers Europe et Schweitzer ont vécus de nombreux changements ces dernières années. La plupart des modifications ont porté sur les bâtiments. Certains ont été rénovés, d'autres détruits et de nouveaux ont été construits.

Une des conséquences de ces travaux est la disparition de places et d'espaces verts. Que ce soit rue d'Athènes, rue d'Amsterdam, rue de Zurich ou avenue de Paris avec la Plaine Pasteur, les zones végétalisées sont largement entamées au profit du béton.

Or l'intérêt de la nature en ville n'est plus à démontrer, tant pour la protection de l'environnement que pour le bien être des habitants. 

La plaine Pasteur subi régulièrement des amputations, pour construire des bâtiments ou des parkings. Nous voulons pérenniser ce qu'il en reste. Pour cela, il faut l'aménager.

Aujourd'hui il s'agit d'une vaste friche où il n'est pas agréable de s'y promener. Nous souhaitons garder les activités sportives qui s'y déroulent et  aménager le reste de l'espace en un parc digne de ce nom et pourquoi pas en jardin botanique

Vivre

Colmar